Le coaching, c’est un peu comme une expérience de chimie ! C’est une évolution, un développement, pour aller de A vers B…
Il y a donc le produit de départ A, et le produit d’arrivée B.
Pour transformer A en B il faut, d’abord, être sûr de deux choses :
- Que la molécule A est bien celle que l’on pense avoir sous les yeux (État présent – Se connaitre)
- Que la molécule B est bien celle que l’on veut synthétiser (État désiré – Objectif global)
Ensuite, il faut peaufiner les caractéristiques désirées de cette molécule B : quelle structure, configuration, quantité ? (Objectif SMART : Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporalisé).
Il faut aussi définir l’impact de cette réaction, mais aussi les risques pour la santé, s’il y en a, et les précautions à prendre. (Enjeux, impact(s) sur la personne et l’entourage).
Puis, il faut mettre en place le mode opératoire :
- Quels ingrédients utiliser ? (Talents, compétences, connaissances, comportements…)
- Dans quel ordre ajouter les ingrédients ? (Plan d’actions)
- Dans quelles conditions ? (Environnement physique, émotionnel, mental, relationnel)
- Y-a-t-il des « impuretés » qui vont ralentir la réaction ? (Peurs, croyances ou comportements limitants)
- Quel matériel utiliser ? (Outils, ressources extérieures)
Et lorsque la réaction est en route, il faut l’observer, suivre l’état de progression, rajouter des ingrédients ou des catalyseurs s’il le faut, extraire les « impuretés »… faire les modifications nécessaires pour trouver la recette idéale et obtenir notre chère molécule B.
Science et coaching ? Deux disciplines qui ont plus de choses en commun qu’il n’y parait… :o)